samedi 3 novembre 2012

"C'est la sardine qui a bouché le port de Marseille"


La communication
Echange entre des marins Américain et Espagnol à mourir de rire!





Une sardine potencielle

OU 

comme l'histoire d'une fille qui envoie par La poste un diamant de 7,8millions d'Euros!!!!!! OUF il est arrivé!


Qu'est-ce que le commerce mondial?



Il y a du danger en vérité et la sardine dans les faits ba ça donne ça:




LE TRANSPORT MARITIME NAVIGUE À VUE
LES OPÉRATEURS CRAIGNENT UN DÉCLIN DE L’ACTIVITÉ
LA DIRECTION DE LA MARINE MARCHANDE, TOUJOURS SANS PATRON
LES ARMATEURS MAROCAINS N’ASSURENT QUE 6% DU TRANSPORT DE MARCHANDISES







Le transport maritime navigue à vue

Si le Maroc dispose désormais d’une grande structure portuaire dans le Nord (TangerMed), les professionels estiment qu’il est temps de revaloriser le secteur du transport maritime national




Les 100 premiers sous-traitants français

Par  - Publié le  | L'Usine Nouvelle n°3305
 
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Cet article est réservé aux abonnés de l’Usine Nouvelle Pas de grand chamboulement en 2011 dans le paysage français de la sous-traitance. Plastic Omnium caracole en tête de notre classement pour la troisième année consécutive. Pour les autres industriels, les chiffres d'affaires 2011 sont globalement à la hausse. Les plus fortes progressions sont enregistrées par les entreprises qui se diversifient et se dotent de bureaux d'études.


C'est une bonne expression  pour parlé ironiquement des entreprises qui détiennent le monopole et de nombreux privilèges.




« C'est la sardine qui a bouché le port de Marseille » est une expression populaire française datant du xviiie siècle. Elle signifie que l'histoire est estimée comme une galéjade, une exagération, une histoire à dormir debout. En fait, l'expression est basée sur une histoire vraie mais dont une coquille typographique en a fait une farce.
En 1779, le vicomte de Barras, officier commandant le régiment français d'infanterie de Marine de Pondichéry, qui avait été capturé par les Britanniques en 1778, était libéré, en vertu d'un accord d'échanges de prisonniers et rapatrié sur une frégate de la Marine du roiLouis XVI.
Le bateau sur lequel il embarqua avait pour nom le Sartine, avec un « t ». Pour assurer sa sauvegarde et son retour tranquille vers la France, il naviguait sous un pavillon de sauvegarde qui devait le protéger de toute attaque des navires de la marine britannique qui reconnaissaient l'ordre de le laisser passer. Le navire put ainsi arriver sans encombre après dix mois de navigation au large du port de Marseille.
Or, au dernier moment, le navire se présenta le 19 mai 1780 avec une inversion du code et la « Sartine » fut prise en chasse par un navire britannique qui tira contre elle deux salves de canons. La frégate française, navire imposant, finit par couler dans le chenal de l'entrée du Vieux-port de Marseille ce qui empêcha pendant un certain temps l'accès et la sortie du port à tous autres navires.




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