lundi 22 octobre 2012

Faut pas rêver. Il est 18h22 au Havre, port de tansit le soleil se couche


Si je suis mon idée, il y a du potenciel







Du concret!


travail power point











Une idée: La pêche!!! Garde la pêche ouai


La pêche/ Patrouilleur P400: 

Col bleu en matière de sécurité? 

La pêche dans les outre-mer doit être regardée tout autant comme le moyen de maintenir ou développer le tissu socio-économique local que comme une nouvelle source de production de ressources inexploitées qui permettrait d'augmenter la part française dans la consommation nationale de produits de la mer très largement déficitaire.

La pêche en outre-mer est aujourd'hui en très grande partie une pêche côtière dans les 12 milles, avec de petites embarcations opérant à la journée, soit sur le plateau continental lorsqu'il existe, soit sous des dispositifs de concentration de poissons (DCP) ancrés15(*). S'y ajoute une pêche lagunaire, en Polynésie, très importante, en nombre de pêcheurs et en prélèvements.
Dans la plupart des territoires d'outre-mer, la pêche plaisancière (souvent le fait de pêcheurs retraités) constitue une pression de pêche sur les ressources du même ordre de grandeur que la pêche professionnelle. S'y ajoutent une pêche hauturière (senneurs de Mayotte et Réunion), palangriers (ciblant la légine) et caseyeurs (ciblant la langouste) dans les TAAF, palangriers à thonidés et à espadons dans l'océan Indien, crevettiers sur le plateau guyanais et caseyeurs martiniquais qui exploitent les vivaneaux sur le plateau de la Guyane.
Le constat d'une très forte exploitation des ressources côtières récifales est globalement partagé sur l'ensemble de ces territoires.
L'implantation de DCP ancrés, financée par la Commission européenne, a permis de transférer une partie de la pression de pêche vers le large, soulageant les ressources du plateau. Le non-renouvellement du parc de DCP, envisagé faute de soutien européen, conduira inévitablement à un repli des navires concernés vers la bande côtière et donc à une augmentation de la pression de pêche sur des ressources déjà très exploitées, voire surexploitées.
La seule marge de progrès dans les ZEE tropicales réside donc dans l'exploitation des grands pélagiques, soit au large, par de grands navires, soit à portée de la petite pêche côtière.
Les situations sont cependant très contrastées selon les zones.
Dans les TAAF, la légine australe est bien exploitée, avec 6 000 tonnes/an dans le cadre d'une pêche extrêmement réglementée qui a fait ces dernières années l'objet d'un contrôle renforcé pour limiter le pillage des stocks par la pêche illégale.
En ce qui concerne la crevette guyanaise (1000 T/an contre 4000 T/an dans les années 90), l'effondrement de la ressource est la conséquence d'un changement environnemental plus que de la pêche. La hausse du prix du carburant conjuguée à la baisse du prix de la crevette du fait de la concurrence de la crevette d'élevage font que cette activité est actuellement très réduite. Elle fait par ailleurs également l'objet d'un pillage par des navires de pêche des pays riverains.
La pêche des thonidés au large présente également de faibles marges de progrès. Les thonidés de l'océan Indien sont suivis et gérés au sein de la CTOI (Commission des Thons de l'Océan Indien) qui fixe les préconisations en termes de pression de pêche. Idem pour les thonidés du Pacifique (WCPFC) et de l'océan Atlantique (CICTA et CRFM).
En définitive, le potentiel halieutique des territoires maritimes français apparaît fragilisé par le déclin de la ressource et la concurrence parfois illégale des navires de pêche étrangers.
Par ailleurs, les difficultés de la pêche pourraient être en partie compensées par les perspectives de développement de l'aquaculture outre-mer.
À Saint-Pierre-et-Miquelon, les efforts de recherche et développement en direction de la pectiniculture, aujourd'hui prometteurs, ont commencé il y a une dizaine d'années. Ils sont axés sur un produit phare, le pétoncle géant, à très forte valeur potentielle.
La crevetticulture concerne principalement la Nouvelle-Calédonie et, à un degré moindre, la Polynésie, où les potentialités sont importantes. On y retrouve les mêmes exigences en termes de recherche et développement et d'organisation de la filière. Aujourd'hui, l'exportation de crevettes de Nouvelle-Calédonie constitue sa deuxième activité exportatrice, après le nickel.
La pisciculture concerne la Réunion, Mayotte, la Polynésie et la Nouvelle-Calédonie, avec des perspectives de développement, mais aussi des freins identifiés.
Dans l'aquaculture, comme dans la pêche, la France fait face à la concurrence de nombreux pays dont notamment la Chine et l'Inde qui ont développé des méthodes industrielles à des coûts très compétitifs.
Les difficultés rencontrées par la pêche française aussi bien en métropole que dans les territoires d'outre-mer militent pour un renforcement des moyens de contrôle et de surveillance maritimes des zones de pêche afin, d'une part, de protéger les stocks dans nos eaux territoriales contre les pêches illégales et la surexploitation de certaines zones et, d'autre part, défendre les intérêts de nos pêcheurs nationaux dont l'activité est essentielle à l'équilibre économique de ces territoires.

Action!



Des fois, il faut parler pirate! POUR PARLER!


Les patrouilleurs du type P400 français :
.Nom
Mise sur cale
Lancement
En service
P682-L'Audacieuse
11/04/1983
21/03/1984
10/09/1986
P683-La Boudeuse
15/06/1983
21/05/1984
25/07/1986
P684-La Capricieuse
12/09/1983
31/10/1984
26/09/1986
P685-La Fougueuse
25/11/1983
17/12/1984
19/02/1987
P686-La Glorieuse
21/02/1984
25/01/1985
25/03/1987
P687-La Gracieuse
26/04/1984
26/03/1985
17/07/1987
P688-La Moqueuse
04/10/1984
08/04/1986
16/05/1987
P689-La Railleuse
27/12/1984
08/04/1986
25/03/1987
P690-La Rieuse
14/03/1985
17/10/1986
13/06/1987
P691-La Tapageuse
13/08/1985
16/02/1987
24/02/1988
Les patrouilleurs du type P400 gabonais :
.Nom
Mise sur cale
Lancement
En service
P07-Général Ba Oumar
02/074/1986
18/12/1987
06/08/1988





14/09/1990

Des ressources océaniques à sécurisé et développer

http://www.senat.fr/rap/r11-674/r11-67411.html


I. LA MER EST UN ATOUT STRATÉGIQUE, ÉCONOMIQUE ET POLITIQUE MAJEUR POUR LA FRANCE

Comme chaque interlocuteur l'a répété en introduction de son audition devant les membres du groupe de travail : « Avec 10,2 millions de km² bordant toutes les grandes puissances du monde, la France est riche du deuxième territoire maritime mondial », soit quatre fois plus grand que la mer Méditerranée, et vingt fois plus grand que le territoire hexagonal ».
Au-delà du constat objectif, il nous a paru important d'en comprendre la signification et la portée concrète tant sur le plan économique que stratégique. Car la seule superficie de ce domaine maritime ne suffit pas à en faire un atout.

A. SI LA FRANCE N'A PAS TOUJOURS SU TIRER PROFIT DU LITTORAL MÉTROPOLITAIN, ELLE POURRAIT À L'AVENIR VALORISER L'IMMENSITÉ ULTRAMARINE


1. Un territoire maritime encore peu valorisé
En dehors des eaux territoriales de la métropole, l'espace maritime français est caractérisé par l'extrême dispersion géographique de l'Outre-mer français et la diversité statutaire des liens que ces territoires entretiennent avec la métropole.
a) Un domaine maritime planétaire
Guadeloupe, Martinique et Guyane,Saint-Pierre et Miquelon,Saint-Martin et Saint-Barthélemy,Sainte-Hélène,Clipperton,Les îles Crozet,les îles Kerguelen ,Saint-Paul (8 km2) et Amsterdam (58 km2),les îles Eparses,l'île Bassa-da-India,l'île Juan-da-Nova,la Grande Glorieuse ou île du Lys (7 km2),Tromelin,
La Terre Adélie est une bande étroite de l'Antarctique d'une superficie d'environ 432 000 km2
118 îles de Polynésie dont 76 habitées 
b) Un territoire maritime mal délimité et encore peu exploité.
Des pans entiers de ce territoire maritime sont encore inexplorés, et ceux qui le sont, peu valorisés.
3. Des ressources naturelles multiples
Alors que les ressources de l'hexagone en hydrocarbures et en minéraux sont très limitées, cet immense domaine maritime contient dans les sous-sols marins des ressources fossiles importantes.
a) Des ressources fossiles importantes
Comme nous l'avons constaté en première partie, la croissance attendue de la demande au niveau mondial étant extrêmement favorable à court, moyen et long terme, l'exploitation de ces ressources sous-marines est en passe de devenir économiquement rentable.
Les industriels sont incités à investir dans le développement de systèmes complexes permettant de relever continuellement le potentiel d'extraction de ces ressources fossiles en mer.
Pour la France, deux opportunités émergent. La première concerne la production de pétrole et de gaz dans les eaux françaises.

· Les ressources en hydrocarbure : en Guyane, une production est attendue en 2019
.
En Guyane, des prospecteurs ont commencé à forer une zone dont la géologie est proche de celle du Ghana, où les abondantes découvertes de 2009 sont désormais en exploitation.
D'après Madame Anne Duthilleul, chargée par le Gouvernement d'une mission sur l'avenir de l'industrie pétrolière au large de la Guyane, entendue conjointement par le groupe de travail et la Délégation pour l'outre-mer, « le premier forage a été réalisé en 2011 avec des résultats positifs début septembre, confirmant les analyses géologiques précédentes établissant un lien entre les structures géologiques sous-marines avec celles de la côte africaine du Libéria et du Ghana. »
La cible minimale serait ainsi de quelques millions de tonnes pour 100 à 200 000 barils par jour.
Le permis d'exploration de Guyane concerne une superficie de 24 100 km2, qui s'étend de la frontière du Brésil à celle du Surinam, sur tout le bord du talus continental. Les profondeurs vont de 200 à 3 000 mètres. Le consortium réunit Shell, à 45 %, Tullow Oil à 27,5 %, Total à 25 % et Northpet à 2,5 %. Shell a succédé à Tullow Oil comme opérateur et porte-parole du consortium le 1er février 2012.
S'agissant des zones internationales, le Comité interministériel de la mer (CIMER) a décidé l'année dernière de déposer une demande de contrat d'exploration pour les amas sulfurés, cette demande intervenant après celles formulées par la Chine et la Russie, qui ont obtenu des contrats l'année dernière.
La Russie et la Chine disposent notamment d'énormes moyens en matière de recherche de ressources minérales non énergétiques.
b) De réelles opportunités en matière d'énergies marines renouvelables.
Le premier appel d'offres devrait permettre le déploiement de 1 200 éoliennes fabriquées par ALSTOM et AREVA associé à TECHNIP et STX. L'ensemble des projets produira près de 2 000 MW et représente un investissement de 7 milliards d'euros. Il devrait permettre la création de 10 000 emplois industriels directs dans les régions Pays-de-la-Loire, Bretagne, Basse-Normandie et Haute Normandie.

Le développement de ces énergies renouvelables exigera non seulement un accompagnement de l'Etat pour faire arriver à maturité ces technologies et les modèles économiques afférents, mais aussi une protection en mer de ces installations sensibles situées à proximité de voies maritimes majeures.
) Des réserves halieutiques à préserver, une aquaculture à développer.
Alors que la pêche maritime française qui emploie directement 24 000 marins embarqués, sans compter la transformation des produits de la mer et les cultures marines, est aujourd'hui en difficultés, il convient plus que jamais de contrôler et de surveiller le domaine maritime français pour préserver les réserves halieutiques.
La pêche constitue, en effet, un rouage de notre indépendance alimentaire qu'il faut sauvegarder, même si, d'ores et déjà, elle ne peut plus couvrir que 80 % de nos besoins, ce qui pénalise notre balance des paiements, le déficit global de la France sur les seuls poissons étant malheureusement passé en dix ans de 500 000 à 1 million de tonnes.
De ce fait, la flotte de pêche française est en net recul. De 1990 à 2008, le nombre de navires a diminué de 43 %.
De ce point de vue, la valorisation des ressources halieutiques des ZEE d'outre-mer constitue une perspective qu'on ne peut négliger.
Ces ZEE sont cependant caractérisées par des situations très contrastées, on constate en effet :
- la disparité des outre-mer dans la configuration des fonds : d'un large plateau continental (Guyane, Saint Pierre et Miquelon) à l'absence quasi-totale de plateau (La Réunion) ;
- la disparité des ZEE, celle des Antilles étant très petite par rapport à celle de la Polynésie (5 millions de km²) ;
- la productivité des écosystèmes pélagiques qui constituent la grande majorité de la ZEE outre-mer est moindre que celle du plateau continental.


Marine et Océan N°237- "Le grand jeu"



le 08 Octobre 2012
Les océans sont plus que jamais au cœur des grands enjeux internationaux économiques, environnementaux, stratégiques et politiques. Les espaces maritimes occupent 70% de la Terre, 70% de la population mondiale vivra en 2030 dans les régions côtières, et 90% du commerce mondial emprunte la voie maritime. L'appropriation et l'exploitation des espaces et des ressources marines sont inéluctables car les océans sont une source essentielle de l'alimentation mondiale et les fonds marins offrent des ressources immenses (terres rares, métaux stratégiques, dépôts hydrothermaux). La course est donc déclarée pour le contrôle et l'étendue des zones de pêche et l'accès aux richesses du sous sol.
Mais dans quel contexte ? Face à une croissance démographique exponentielle (plus de 9 milliards d'êtres humains en 2050) et à la surexploitation des ressources naturelles, l'état de la planète se dégrade à un niveau sans précédent et les répercussions sont irréversibles. Les océans s'appauvrissent autant que les terres. Acidification et pollutions durables des eaux, dégradation des écosystèmes et destruction des habitats, réduction de plus de 90% de certains stocks halieutiques commerciaux, détérioration des récifs coralliens, perte de biodiversité, notamment du fait de méthodes de pêches destructrices, l'impact humain sur les océans est profond. Il nous faut reconnaître les faits et les admettre.
Protéger les océans où est née la vie est aussi protéger l'espèce humaine. Un modèle de développement moins destructeur est nécessaire et urgent tout comme la mise en place d'accords internationaux protégeant la haute mer, consolidant la recherche scientifique et le principe de précaution dans les zones sensibles (Arctique), renforçant la surveillance des zones économiques exclusives et encadrant de façon réglementaire l'extension des plateaux continentaux et l'appropriation des fonds marins internationaux. Les appels fusent de toute part, mais l'humanité est lente face à l'urgence et aux dangers.
Prendre connaissance des faits, accepter leur réalité et comprendre la valeur inestimable des milieux vivants sont les premiers pas nécessaires à une prise de conscience mondiale, sans laquelle aucune action n'est possible.


Ca bouge!




Un nouvel élan pour la politique maritime intégrée

9 octobre 2012 - MER ET LITTORAL
Frédéric Cuvillier a participé dimanche 7 et lundi 8 octobre à une réunion informelle des ministres européens en charge des questions maritimes, à Limassol, à l’initiative de la présidence chypriote de l’Union européenne.

Les ministres ont adopté une déclaration politique qui donne un nouvel élan à l’ambition maritime européenne. La mer est un levier de croissance et d’emploi, autour des énergies bleues, de l’aquaculture, des biotechnologies, de l’exploitation des ressources minérales et du tourisme. L'océan génère en Europe 495 milliards d'euros de richesse, et fait vivre 5,4 millions d'Européennes et d'Européens.

Pour Frédéric Cuvillier, cette démarche, qui avait été introduite dans le débat électoral par le Président de la République, marque une approche globale et intégrée, seule à même de créer de nouveaux emplois et de défendre ceux qui existent. « Il faut libérer le potentiel économique de nos mers, littoraux et territoires d’outre-mer », indique Frédéric Cuvillier, rappelant que la France possède la deuxième façade maritime mondiale. « La France plaide pour une croissance bleue, créatrice de richesses durables, autour de la construction navale (300.000 emplois), du transport maritime, de la recherche, des énergies marines renouvelables, de la pêche durable (24.000 marins embarqués) et des ports, en promouvant l’enseignement et la formation aux métiers de la mer ».
 

Création des grands ports maritimes d’Outre-Mer

12 octobre 2012

A compter du 1er janvier 2013, la France sera dotée de quatre nouveaux grands ports maritimes (GPM) pour l’outre-mer. Cette création fait suite à la publication le 2 octobre 2012 de cinq décrets d’application de la loi du 22 février 2012 portant réforme portuaire en outre-mer.


 Les nouveaux établissements publics portuaires remplaceront le port autonome de la Guadeloupe, et trois ports d’intérêt national actuellement concédés aux chambres de commerce et d’industrie locales de Fort-de-France (Martinique), de Dégrad-des-Cannes (Guyane) et de Port-Réunion (Réunion).
La réforme décline dans les départements d’outre-mer le modèle des grands ports maritimes mis en œuvre dans l’Hexagone en 2011, tout en tenant compte des spécificités inhérentes à la situation locale.
Cette nouvelle organisation des ports d’outre-mer doit permettre de répondre aux exigences de performance et de compétitivité face à l’évolution du commerce maritime international et à la concurrence avec les ports étrangers.
Elle accroît le poids des collectivités territoriales au sein du conseil de surveillance des GPM, afin de veiller à une cohérence entre le développement des ports d’outre-mer et l’évolution des territoires sur lesquels ils sont implantés.
Afin de répondre à une préoccupation des parlementaires ultramarins, la loi du 22 février 2012 intègre le souci d’une meilleure maîtrise des coûts de passage portuaire. En effet, ces coûts influent fortement sur les prix en outre-mer.
Enfin, le nouveau cadre doit permettre de faciliter l’investissement portuaire et la réalisation des projets d’infrastructures portuaires dans les DOM.
Retrouvez les cinq décrets parus dans le Journal Officiel du 2 octobre 2012 :

Un président porte parole pour l'outre-mer. (ministre: Réunion: Victorin Lurel)



http://www.senat.fr/notice-rapport/2011/r11-674-notice.html



"J'engagerai une nouvelle étape de la décentralisation. Je le ferai non pas simplement par principe mais parce-que j'ai une conviction, c'est que nos territoire sont des lieux de démocratie, d'énergie, de vitalité, de croissance. Et qu'au moment où il faut redresser la France, où il faut chercher des gisements pour l'investissement, pour la formation, pour l'innovation, c'est sur le territoire que nous les trouverons"
François Hollande, Dijon, 3 mars 2012.





lundi 15 octobre 2012

"Le son du cor entoure, le projet chemine exellement"


« En France, on exhibe des farceurs étrangers, et à l'étranger, des farceurs français !  »

de Jules Verne

Extrait du Le tour du monde en 80 jours




MAURICE-SEYCHELLES: Accord sur la gestion conjointe d’une zone supplémentaire

James Michel (président des Seychelles) : « Nous avons montré comment deux États insulaires peuvent s’associer pour explorer les richesses de l’océan »

"le son du cor entoure le projet chemine exellemment"